5 questions à ...

Aujourd'hui, nous vous présentons notre partenaire David Henocq (CCS International/CCS Ouest)

Pourriez-vous nous présenter votre entreprise ?  

Constructeur métallique depuis 1994, nous sommes basés à Mondeville avec une activité en Ile de France assez forte. Le groupe SOPREMA a racheté l’entreprise en 2009 et j’en ai pris la direction. On travaille dans la rénovation de bâtiments Haussmanien et Eiffel. On a créé en 2016 une filiale CCS Ouest (Haute et Basse Normandie surtout) où l’on fait charpente métallique, couverture, bardage, on fait l’enveloppe du bâtiment. Pour parler un peu technique, nous avons un bureau d’étude avec calculateur et dessinateur, un atelier de fabrication de 2500m² et une équipe de pose sur les chantiers. Nous sommes donc autonomes de A à Z dans l’exécution. Les deux entités réunies représentent 55 salariés et environ 13 millions de CA.

 

Quelles sont les valeurs communes du sport et de CCS ?  

Les valeurs du sport comme le dépassement de soi, la cohésion de groupe sont présentes chez CCS. Je mets toujours en reflet le travail au quotidien qui est une somme d’efforts et de compétences, et je dis toujours que j’ai une super équipe au sein de CCS, car les 55 personnes qui la composent sont tous aussi importants les uns que les autres. On y retrouve 25 métiers différents (dessinateur, comptable, secrétaire, grutier …) avec une même finalité : construire un ouvrage. C’est cet esprit de groupe et d’appartenance à l’entreprise qui est fort et que je retrouve dans le sport. Pour être perpétuellement dans le dépassement de soi, chacun fait ce qu’il doit faire et fonctionne à la confiance, en autonomie. Un athlète se défonce pour atteindre ses objectifs, nos salariés sont dans cette même démarche. La mentalité chez CCS c’est autonomie et confiance afin de tirer l’entreprise vers le haut. La cohésion qu’il y a dans l’entreprise, on la retrouve dans les événements sportifs auxquels nous participons. On était 18 à participer au Raid de la Presqu’ile en 2018, on sera 20 à l’Audacieuse cette année et nous irons également courir aux Courants de la Liberté en Juin. Pour conclure, comme dans le sport, on retrouve le dépassement de soi-même qui amène l’entreprise vers le haut et on arrive à relever des défis qu’on n’ose même pas imaginer au départ.

 

Comment êtes-vous devenu partenaire de l’AOMH ?

On travaillait sur le chantier de Mondevillage et par le biais de celui-ci, j’ai entendu que Christophe recherchait de nouveaux partenaires. J’avais eu connaissance d’un petit déjeuner partenaires et je m’y suis invité. J’ai rencontré Christophe dans le hall et je lui ai simplement dis « on ne se connait pas mais je veux devenir partenaire », il m’a alors tapé dans le dos en me disant « bienvenue ». Et on s’est tout de suite bien entendu, c’est quelqu’un de génial ! Je suis conscient du travail qui est produit, il fait de l’encadrement, du management et de la cohésion avec ses 200 bénévoles pour arriver à quelque chose d’abouti. J’ai encore été épaté du meeting début février !

 

Quels sont les bénéfices que vous tirez de votre partenariat avec nous ?

Les 2 événements sont complétements différents. Celui d’Hiver, à Mondeville, c’est un petit chaudron avec une belle salle, une belle charpente métallique, donc forcément j’y suis sensible. D’ailleurs, je suis même venu le samedi matin pour courir le 1000m avec ma fille. Je n’avais entendu que du bien de la piste et de son rebondit, je n’avais qu’une envie, la tâter.

Ces deux événements sont aussi attirants l’un que l’autre même si j’appréciais plus Mondeville au début. Mais petit à petit, j’ai appris à découvrir celui d’Hérouville sous un autre angle. Ils sont différents mais totalement complémentaires et je dirais même que l’un ne va pas sans l’autre.

On amène des collaborateurs et des clients sur les meetings, on essaye d’en faire profiter un maximum de gens. On ramène le plus possible des personnes sensibles à l’athlétisme, et souvent les gens qui viennent sont de très gros fans de ce sport et ils sont comme des gamins. Il y en a qui me disent « vivement le prochain ! ».

Assister aux meetings, c’est vraiment du plaisir, on est en mode détente, on attend la perf, le geste qui va être exceptionnel. C’est le plaisir des yeux mais c’est tellement court… Il faut arriver tôt pour en profiter un maximum et se mettre dans l’ambiance. De plus, avoir Patrick Montel au micro, c'est génial !

 

Avez-vous déjà collaboré avec des entreprises de notre réseau partenaire ?

L’intérêt de tout ça, c’est de connaitre d’autres acteurs de la région caennaise pour lesquels on peut proposer nos services ou inversement. La mise en relation fonctionne. Pour faire fonctionner le réseau, il faut être dynamique, participer aux rencontres partenaires, il faut l’animer et ramener des nouveaux.

Au sein du réseau, on commence à se connaitre maintenant et c’est toujours un plaisir de se retrouver car il y a un bon état d’esprit.